Critique : Des souris et du minestrone
J’adore lire de la fiction spéculative. À tel point que je ne lis presque jamais rien qui ne soit au moins quelque peu spéculatif par nature, du moins pas par choix, mais quand je lis quelque chose qui n’est que de la « fiction », je me retrouve toujours à désirer ce petit fait. . – même …