Les orphelins de Raspay

Critique : Les Orphelins de Raspay

La délicieuse série de romans de Lois McMaster Bujold mettant en vedette Penric et son démon Desdemona se poursuit avec « Les orphelins de Raspay », où Penric est désespérément pris dans le sort de deux filles orphelines. Si vous n’avez pas lu les romans précédents, consultez-les, en commençant par « Penric’s Demon » (revue EBR), où vous aurez mon avis sur le lecteur Audible, ainsi que les détails sur ce que signifie être un sorcier avec votre propre mal.

Comme cela semble toujours être le cas avec le Bâtard, le dieu et « maître de tous les désastres hors saison », Penric pense qu’il a un travail mais se retrouve inopinément affecté à un autre. Lorsque son navire est abordé par des pirates, il doit utiliser son intelligence pour éviter de détecter son côté sorcier. Il se retrouve avec un groupe d’esclaves potentiels ou de rançon lorsqu’il rencontre deux filles qui étaient en route pour retrouver leur père. Sa mère est décédée et il semble qu’il ait conclu un accord avec le bâtard pour s’occuper de ses enfants après sa mort, et il a envoyé Penric (à son insu) pour se conformer.

Penric résout ce dilemme de la seule manière qu’il peut : avec la ruse, la magie de Desdémone et un peu (ou beaucoup) de chaos. Desdemona est un démon du chaos, après tout, ce ne serait pas aussi amusant sans un peu de folie. La relation entre Desdemona et Penric n’a fait que s’approfondir. On a vraiment l’impression de se connaître, de se comprendre et de s’apprécier. J’aime leur relation et leurs interactions, et Bujold les rend vraiment drôles et adorables. Mais Penric noue une nouvelle relation avec les filles et découvre un côté paternel qu’il ignorait avoir. D’abord, il doit convaincre les filles qu’il veut les aider, mais ce sont des filles intelligentes et elles n’ont pas survécu jusqu’ici en étant stupides. Bujold dépeint les filles de manière réaliste et son interaction avec Penric semble authentique.

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Les aventures de Penric et Desdémone se poursuivent avec LES ORPHELINS DE RASPAY, où un groupe de filles précoces entre dans la vie de Penric.

Il n’y a pas beaucoup de construction de monde cette fois-ci par rapport aux autres histoires, bien que nous puissions voir une ville pirate en action. Il n’y a pas grand-chose de nouveau dans la magie non plus. Ici, « Les Orphelins de Raspay » traite davantage des relations et de l’évolution de Penric en tant que représentant du Bâtard. Et il le prend bien.

  • Âge recommandé : 12+
  • Langage: Aucun
  • La violence: Activité pirate diluée, danger, mention de mort.
  • Sexe: La mère des enfants était une prostituée, mais sinon rien

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