A BILL OF THE RIGHTS OF WIZARDS explore les façons dont la magie aurait pu être entrelacée avec l’esclavage, le commerce et la politique pendant la tourmente politique des années 1790. De plus, il y a la magie noire. et les vampires Et prennent la Bastille !
Mais vous connaissiez déjà ce dernier.
Dans le passé de Parry, les sorciers « roturiers » sont incapables d’utiliser leur magie avec de lourds bracelets en argent, contrôlés par les Templiers. L’Europe vit dans la peur d’une autre guerre des vampires, comme celle qui a dévasté ce continent il y a 300 ans. Et le sentiment grandit que les gens devraient avoir le droit de pratiquer librement leur propre magie.
A BILL OF THE RIGHTS OF WIZARDS suit plusieurs personnalités à travers les événements des dernières années turbulentes du XVIIIe siècle. Le roman commence alors que William Wilberforce, qui deviendrait une figure clé de la campagne pour abolir l’esclavage, cherche une cause à laquelle consacrer sa vie. William Pitt, le futur Premier ministre de Grande-Bretagne, doit cacher qui il est vraiment par crainte de représailles. Maximilien Robespierre, un avocat français de province avec un sens aigu du bien et du mal, fait rage contre le régime de plus en plus tyrannique de la monarchie française. Et dans la colonie britannique de la Jamaïque, une esclave nommée Fina découvre qu’elle est une puissante magicienne en combattant la magie utilisée pour empêcher les esclaves de se rebeller.
Alors que la Révolution française et le mouvement pour abolir l’esclavage fournissent un flux naturel au récit, la ligne directrice émotionnelle provient de deux séries d’amitiés notables : William Wilberforce et William Pitt en Angleterre et Maximilien Robespierre et Camille Desmoulins en France. Ces personnages historiques étaient puissants et convaincants en eux-mêmes, mais Parry réussit à les transformer en personnages dynamiques dans son roman. En fait, alors que les années 1790 nous ont fourni un drame politique incroyablement convaincant, les parties du roman qui m’ont fait dire « oh non » à haute voix (c’est une bonne chose) étaient enracinées dans les relations des personnages.
Bien que le roman passe moins de temps avec Fina, son parcours est également intéressant et je soupçonne que son récit sera plus central dans le deuxième volet de THE SHADOW STORIES. En particulier, la relation de confiance mais difficile de Fina avec Toussaint Louverture, le leader du soulèvement à Saint Domingue (aujourd’hui Haïti) promet des développements intéressants.
A WIZARDS BILL OF RIGHTS mêle avec succès amitié, magie et politique dans une réinvention divertissante du passé.
UN BILL OF THE RIGHTS OF WIZARDS couvre une période relativement courte, mais Parry couvre BEAUCOUP d’histoire et le fait remarquablement bien. Même si j’étais un peu fatigué de garder une trace des factions de la Révolution française, j’étais simultanément impressionné que Parry puisse simplifier suffisamment le récit historique pour en faire un roman amusant, tout en guidant ses lecteurs à travers des événements historiques compliqués. . L’histoire et la politique se lisent facilement et couramment.
Parry a une histoire très spécifique d’amitié et de magie à raconter, et il la raconte avec succès. Mais je n’ai pas pu m’empêcher de me demander en lisant si elle n’aurait pas amené son récit au centre de différentes voix vitales. Le fantasme historique peut être trompeur. Où déviez-vous des événements, juste par magie, ou modifiez-vous également l’histoire ? Permet-elle à la magie de changer la dynamique des sexes ou de brouiller les récits des perspectives masculines à prédominance blanche ? Si nous changeons si profondément l’histoire que nous ajoutons des vampires et de la magie, pourquoi ne pas ajouter également les perspectives des femmes et des personnes de couleur ? Je ne m’attends pas à ce que Parry réponde à toutes ces questions, mais elles étaient certainement dans mon esprit en lisant le roman et j’ai parfois souhaité que la plupart des prospects ne soient pas des hommes blancs.
On ne sait pas encore quand le deuxième livre de THE SHADOW HISTORIES sera publié, mais quand ce sera le cas, je marquerai mon calendrier pour la sortie.
- Âge recommandé : 11+
- Langage: Aucun
- La violence: Un soulèvement brutal des esclaves et la Révolution française. Sanglant, mais surtout abstrait.
- Sexe: Aucun
Liens de la série : The Shadow Stories
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#1 : Une déclaration des droits des sorciers
—cet avis
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