Critique : Le roi de la fièvre
Amazone Empruntant une phrase à La princesse à marier, Victoria Lee n’écrit pas pour la mort dans THE PARTY KING, elle écrit pour la douleur. Donc, quand je qualifie ce roman de sombre et obsédant, je dois croire que Lee le prendrait comme un compliment. THE FEVER KING est résolument politique dans son exploration du …